Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Dissosteira spurcata

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Cette espèce est associée à la steppe arbustive aride de la région intramontagneuse de l'Ouest. Elle atteint sa limite nord dans le sud de la vallée de l'Okanagan, en Colombie-Britannique. Dans son aire de répartition canadienne, elle est très localisée et n'a été observée récemment qu'à deux endroits : dans une réserve faunique de la concession Haynes, à l'extrémité nord du lac Osoyoos, et sur une parcelle de terre publique à l'ouest d'Osoyoos. Bien que la réserve faunique soit protégée, les terres publiques pourraient être annexées et aménagées par la ville d'Osoyoos, des pressions se font sentir en ce sens. Ces terres sont actuellement utilisées par des véhicules hors route et des randonneurs. L'espèce pourrait également se trouver sur la rive est du lac Osoyoos, dans la réserve indienne d'Osoyoos. Cela ne changerait pas beaucoup la situation de l'espèce

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Amblyscirtes oslari

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Alberta, Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Saskatchewan

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :L'Amblyscirtes oslari est un papillon des prairies que l'on trouve dans les prairies mixtes sèches, les forêts claires, les ravins et les canyons. Son aire de répartition est limitée au sud de l'Alberta et de la Saskatchewan. Les adultes volent de mai à juillet, les larves se nourrissent de boutelou grêle (Bouteloua gracilis) ou d'autres herbes, et l'espèce est univoltine. La présence de l'espèce est connue dans huit sites : Lethbridge (Alberta), parc provincial Writing on Stone (Alberta), Taber (Alberta), portion nord de la réserve de pâturage de Pinhorn (Alberta), Estuary (Saskatchewan), Val Marie (Saskatchewan), Deer Forks (Saskatchewan) et Roche Percee (Saskatchewan). La perte de l'habitat de prairie propice à cette espèce s'explique par la conversion généralisée de l'habitat au début des années 1900 et la disparition du bison des prairies. Les menaces actuelles comprennent : l'intensification de l'agriculture; la fragmentation de l'habitat et l'absence de connectivité entre les fragments de prairies naturelles; les plantes envahissantes qui modifient la chimie du sol ou qui entrent en concurrence avec les plantes hôtes larvaires et nectarifères indigènes; l'utilisation de pesticides agricoles et de pesticides en bordure des routes. Il n'existe actuellement aucune mention de l'espèce au Canada dans iNaturalist, BugGuide ou d'autres forums citoyens scientifiques en ligne.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Anacampsis lupinella

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :L'Anacampsis lupinella est une espèce présente dans le sud de l'Ontario, et plus particulièrement dans les chênaies claires et sèches ainsi que dans les landes de pins rigides et de chênes nains où l'on trouve la plante hôte, le lupin vivace (Lupinus perennis). Le lupin vivace est également en péril et classé vulnérable au Canada (N2N3) et en Ontario (S2S3). Les mentions de l'espèce s'étendent de 1901 à 2017 et sa présence est connue à High Park (Toronto), dans la réserve de conservation de St. Williams (et sur une propriété privée voisine, toutes deux dans le comté de Norfolk) et dans le Refuge du bleu mélissa (comté de Lambton). Une autre sous population pourrait être présente dans le parc provincial The Pinery ou dans ses environs puisqu'une population de lupin vivace de taille modérée y persiste. Les menaces comprennent : les espèces envahissantes qui modifient l'écosystème et ont des effets sur les plantes hôtes; la pulvérisation de pesticides pour lutter contre les infestations de spongieuses du biotype non indigène; la conversion et la fragmentation de l'habitat.

Nom commun : Alouette hausse-col

Groupe taxonomique :Oiseaux

Nom scientifique : Eremophila alpestris

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Alberta, Colombie-Britannique, Conseil de cogestion de la faune et de la flore des monts Torngat, Conseil consultatif de la gestion de la faune des Territoires du Nord-Ouest, Le Conseil consultatif de la gestion de la faune (versant nord), Conseil de gestion de la harde de caribous de la Porcupine, Commission de gestion de la faune aquatique et terrestre du Yukon, Comité de gestion des pêches conjointes Nisga'a, Conseil de gestion des ressources fauniques du Nunavut, Conseil de gestion des ressources fauniques de la Région marine d'Eeyou, Conseil de gestion des ressources fauniques de la région marine du Nunavik, Conseil des ressources renouvelables d'Alsek, Conseil des ressources renouvelables de Carmacks, Conseil des ressources renouvelables de Carcross/Tagish, Conseil des ressources renouvelables du district de Dawson, Conseil des ressources renouvelables de Dän Keyi, Conseil des ressources renouvelables du district de Mayo, Conseil des ressources renouvelables de Laberge, Conseil des ressources renouvelables du Nord du Yukon, Conseil des ressources renouvelables de Selkirk, Conseil des ressources renouvelables de Teslin, Manitoba, Musée Canadien de la Nature, Nouveau Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador, Nouvelle-Écosse, Territoires du Nord-Ouest, Territoire du Nunavut, Nisga'a Wildlife Committee, Ontario, Office des ressources renouvelables sur le territoire gwich'in, Office des ressources renouvelables du Wekeezhi, Agence de Parcs Canada, Île-du-Prince-Edouard, Québec, Service canadien de la faune, Saskatchewan, Sahtu Renewable Resources Board, Territoire du Yukon

Date appel d'offres proposé2022

Rationale :L'Alouette hausse col est un oiseau terrestre holarctique présent dans la toundra et les prairies canadiennes, ainsi que dans d'autres paysages ouverts allant des landes littorales jusqu'au dessus de la limite alpine des arbres. L'une des huit sous espèces présentes au Canada, soit l'Alouette hausse col de la sous espèce strigata, a fait l'objet d'une évaluation par le COSEPAC en 2003 et en 2018 et a été jugée comme étant en voie de disparition. Nous tenons maintenant compte des sept autres sous espèces. Les sous-espèces d'Alouette hausse-col diffèrent en ce qui concerne l'aire de répartition, la taille et la coloration. La plupart des sous-espèces ont des populations estimées à plus d'un million d'individus matures au Canada, mais il est possible que les sous espèces Eremophila alpestris arcticola et Eremophila alpestris merrilli ne comptent que de 15 000 à 20 000 individus matures chacune. Dans l'ensemble, la population canadienne d'Alouettes hausse col est estimée à environ 28 millions d'individus matures. Après des augmentations apparentes à la fin du 19e siècle, la plupart des populations n'ont cessé de décliner depuis les années 1940. La perte de zones agricoles marginales, l'intensification de l'agriculture dans les aires de reproduction et la perte d'habitats de prairies indigènes ont eu des effets négatifs sur les populations dans les sites de reproduction et les aires d'hivernage. Les estimations et les tendances propres à chaque sous espèce sont difficiles à déterminer et semblent varier considérablement. À l'échelle nationale, les données du Relevé des oiseaux nicheurs pour l'Alouette hausse col indiquent toutefois un déclin à long terme (1970 à 2018) de 89 % (intervalle de crédibilité à 95 % : 91 %, 86 %), correspondant à une tendance annuelle de 4,4 % ( 4,9 %, 4,0 %), avec un déclin à court terme (2008 à 2018) de 58 % ( 64 %, 52 %), correspondant à une tendance annuelle de 8,4 % ( 9,7 %, 7,0 %).

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Hesperia pahaska

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Manitoba, Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Saskatchewan

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :L'Hesperia pahaska est un papillon de la prairie mixte sèche et des forêts de pin ouvertes dont l'aire de répartition est restreinte au sud de la Saskatchewan et du Manitoba. Les adultes volent de juin à juillet, et l'espèce est univoltine au Canada. Les larves se nourrissent de boutelou grêle (Bouteloua gracilis), et l'Erioneuron pulchellum a également été consignée comme étant une plante hôte dans certaines parties de l'aire de répartition de l'espèce aux États Unis. Les mentions s'étendent de 1928 à 2009 et proviennent de cinq endroits, notamment Surprise Valley (Saskatchewan), Rosefield (Saskatchewan), Minton (1928, Saskatchewan), le Parc national du Canada des Prairies (Saskatchewan) et Miniota (Manitoba). La vaste conversion de l'habitat au début des années 1900 et la perte du bison des prairies ont contribué à la perte d'habitat de prairie convenable à cette espèce. Les menaces actuelles englobent l'intensification de l'agriculture, la fragmentation de l'habitat et le manque de connectivité entre les fragments de prairies naturelles, les plantes envahissantes qui modifient et/ou livrent une compétition agressive aux plantes nectarifères ou aux plantes hôtes indigènes, ainsi que l'utilisation de pesticides en bordure des routes et dans les champs agricoles. Actuellement, il n'y a aucune mention canadienne dans iNaturalist, BugGuide ou autre forum de science citoyenne/en ligne.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Lacunicambarus polychromatus

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé2022

Rationale :Le Lacunicambarus polychromatus est une écrevisse fouisseuse dont la présence d'une sous population est connue au Canada, plus précisément à Windsor, en Ontario. Cette espèce dulcicole creuse ses propres terriers dans de l'habitat de zones basses, près de la nappe phréatique, notamment les rives de lacs et de cours d'eau et les plaines inondables adjacentes, les fossés bordant les routes et les milieux humides. Son cycle vital est très peu connu, mais l'on sait que l'espèce consomme des matières à la fois végétales et animales comme des insectes et des vers, saisissant les proies qui passent devant l'ouverture de son terrier. Les menaces englobent toute forme d'aménagement qui a un impact sur la longévité, la qualité et la durabilité des milieux humides : le remplissage des milieux humides, la conversion, la dérivation de cours d'eau (vers les milieux humides) et le ruissellement de pesticides, d'eaux usées et de sel en bordure des routes.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Notamblyscirtes simius

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Saskatchewan

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :Le Notamblyscirtes simius est un papillon de la prairie mixte dont l'aire de répartition est restreinte au sud de la Saskatchewan. Les adultes volent de juin à juillet, les larves se nourrissent de boutelou grêle (Bouteloua gracilis), et l'espèce est univoltine. La présence de l'espèce est connue à trois endroits dans le sud de la Saskatchewan, notamment Rosefeld (1968), Val Marie (1983) et un lieu de récolte inconnu qui doit être étudié davantage. Il n'existe aucune occurrence documentée connue au Canada depuis au moins 1998. La vaste conversion de l'habitat au début des années 1900 et la perte du bison des prairies ont contribué à la perte d'habitat de prairie convenable à cette espèce. Les menaces actuelles englobent l'intensification de l'agriculture, la fragmentation de l'habitat et le manque de connectivité entre les fragments de prairies naturelles, les plantes envahissantes qui apportent des modifications et/ou qui livrent une compétition agressive aux plantes nectarifères ou aux plantes hôtes indigènes ainsi que l'utilisation de pesticides en bordure des routes et dans les champs agricoles. Actuellement, il n'y a aucune mention canadienne dans iNaturalist, BugGuide ou autre forum de science citoyenne/en ligne.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Lichens

Nom scientifique : Xanthaptychia aurantiaca

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Territoires du Nord-Ouest, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :Le Xanthaptychia aurantiaca est étroitement restreint aux parties occidentales de l'Arctique canadien. Il s'agit d'un macrolichen de taille relativement grande et de couleur orange vif qui est bien visible dans le paysage. Toutefois, il n'existe que 14 individus récoltés connus. La région a fait l'objet de relevés approfondis visant les lichens (voir la carte dans la section « Activités de recherche »), et plus de 6 600 lichens ont été récoltés. Ces chiffres portent à croire que le X. aurantiaca est non seulement étroitement endémique, mais également rare dans son aire de répartition. Tous les individus ont été récoltés sur les côtes. La plupart des récoltes ont été faites sur l'île Banks et dans la péninsule Parry, dans les Territoires du Nord Ouest. Cette espèce est menacée par la perte d'habitat causée par l'érosion rapide des côtes, le contact avec l'eau salée découlant des ondes de tempête et la fonte du pergélisol. Ces menaces sont attribuables à la réduction de la couverture de glace de mer dans la mer de Beaufort aux changements des conditions météorologiques causés par les changements climatiques en cours.

Nom commun : Barge marbrée

Groupe taxonomique :Oiseaux

Nom scientifique : Limosa fedoa

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Alberta, Colombie-Britannique, Manitoba, Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Québec, Service canadien de la faune, Saskatchewan

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :La Barge marbrée est un grand oiseau de rivage qui niche dans trois zones distinctes. La plus grande population est de loin celle des prairies et des forêts-parcs des grandes plaines (environ 170 000 individus matures, dont 60 % au Canada). Deux autres populations nicheuses, petites et disjointes, sont situées en Alaska et à la baie James (environ 2 000 individus chacune). Selon les données du Relevé des oiseaux nicheurs, la population du centre du continent, surveillée de près, a diminué de 42 % au cours des trois dernières générations, et le déclin s'est accéléré pour atteindre 4,5 % par année au cours de la dernière décennie. Les menaces qui contribuent à ce déclin ne sont pas bien connues, mais la perte rapide de milieux de prairie et le drainage de milieux humides sont probablement des facteurs déterminants. Les menaces qui pèsent sur la migration et les aires d'hivernage sont notamment la perte de milieux humides, les collisions avec les lignes de transport d'électricité et les autres infrastructures, les perturbations humaines, la contamination (y compris les déversements de pétrole), les changements climatiques et la hausse du niveau de la mer.

Nom commun : Cercope de la verge d'or

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Philaronia canadensis

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé2022

Rationale :Le cercope de la verge d'or est un insecte de l'ordre des hémiptères historiquement présent dans une petite aire de répartition de la région des Grands Lacs, dans le sud de l'Ontario et dans le nord du Michigan. Or depuis 1989, seules cinq mentions ont été confirmées dans cette région. L'espèce était autrefois largement répandue dans le sud de l'Ontario et au Michigan, et le nombre de sous-populations en Ontario est passé de quinze à cinq. L'espèce se trouve dans les prés le long des rives des lacs et des rivières, et ses plantes hôtes sont la verge d'or du Canada (Solidago canadensis) et la verge d'or d'Ohio (Solidago ohioensis), de même que l'aster ciliolé (Symphyotrichum ciliolatum) et l'eupatoire rugueuse (Ageratina altissima).

Nom commun : Pétrel des Bermudes

Groupe taxonomique :Oiseaux

Nom scientifique : Pterodroma cahow

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Nouvelle-Écosse, Océan atlantique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :Le Pétrel des Bermudes est un petit oiseau du genre Pterodroma, et l'un des oiseaux de mer les plus rares au monde. Alors qu'on croyait l'espèce disparue de la planète, huit couples nicheurs ont été aperçus dans les îles entourant Castle Harbour, aux Bermudes, en 1951. Grâce à des efforts intensifs de conservation et de gestion, ce nombre a depuis augmenté pour atteindre 134 couples en 2020, dont 80 % nichent dans des abris artificiels. De récentes études de suivi télémétrique ont montré que, durant les périodes d'incubation et d'élevage des petits en avril et en mai, le Pétrel des Bermudes cherche régulièrement de la nourriture dans les eaux profondes au sud-est de la Nouvelle-Écosse, à l'intérieur de la limite de 200 milles marins qui définit la Zone économique exclusive canadienne. Parmi les menaces importantes qui pèsent sur l'espèce dans les colonies reproductrices des Bermudes, on compte la compétition avec le Phaéton à bec jaune, indigène à la région, pour les emplacements de nidification, les effets des pesticides et la prédation par des rats introduits. La principale menace est toutefois la fréquence et l'intensité croissantes des tempêtes automnales, qui inondent régulièrement les colonies et détruisent les sites de nidification de faible élévation. Ce phénomène est aggravé par la hausse continue du niveau de la mer. Les menaces en mer sont peu connues, mais peuvent vraisemblablement comprendre l'éclairage des bateaux et des structures, la construction de parcs éoliens extracôtiers et les changements dans la répartition des proies en lien avec le climat.

Nom commun : Colibri roux

Groupe taxonomique :Oiseaux

Nom scientifique : Selasphorus rufus

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Alberta, Colombie-Britannique, Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Territoire du Yukon

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :Le Colibri roux est encore une espèce commune dans l'ensemble de son aire de répartition, avec une population canadienne estimée à 12 millions d'individus matures, soit 54 % de la population mondiale. Toutefois, l'espèce a subi un déclin sur une longue période, déclin qui s'est récemment accéléré. On estime que la population canadienne de Colibri roux a diminué de 31 % entre 2009 et 2019. Même si les causes de ce déclin ne sont encore que partiellement comprises, de récentes recherches indiquent que l'usage de pesticides et la dégradation de l'habitat associée aux changements climatiques sont des menaces grandissantes. Comme le Colibri roux est une espèce qui migre sur de longues distances, il a besoin de milieux de qualité dans plusieurs régions pour lui servir de sites de reproduction, de haltes migratoires et de sites d'hivernage. En conséquence, des menaces surviennent constamment tout au long de son cycle vital annuel, ce qui augmente les effets cumulatifs sur les populations.

Nom commun : Crapaud pied-beche des Plains

Groupe taxonomique :Amphibiens

Nom scientifique : Spea bombifrons

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Alberta, Manitoba, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Saskatchewan

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :Le Crapaud pied-beche des Plains est réparti en parcelles dans l'ensemble du centre sec de l'Amérique du Nord, y compris en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba. On présume que l'espèce était autrefois largement répandue dans l'ensemble des prairies indigènes canadiennes. Or, plus de 77 % de ces milieux ont disparu au cours du 20e siècle, principalement parce qu'ils ont été convertis en terres agricoles. La perte de prairies se poursuit encore, cette fois surtout à cause des régimes de broutage et de lutte contre les incendies qui permettent à la succession végétale de suivre son cours. L'espèce est vulnérable aux sécheresses estivales prolongées, puisqu'elle se reproduit dans des étangs peu profonds susceptibles de s'assécher, entraînant ainsi l'échec de la reproduction. Même si l'espèce est adaptée à des environnements arides qui varient de manière prévisible, la perturbation des régimes climatiques, en plus de l'agriculture intensive et des réseaux routiers qui restreignent la dispersion, entraînera vraisemblablement un déclin des populations.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Lichens

Nom scientifique : Erioderma sorediatum

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Ce cyanolichen rare pousse uniquement dans les forêts côtières. En Colombie-Britannique, on le rencontre dans quatre sous-populations et dans 5 à 10 localités. Toutefois, certaines des occurrences n'ont pas été visitées depuis plusieurs décennies. Le petit nombre de localités connues et la densité très faible des thalles observée à ces localités, malgré les activités de recherche considérables menées au cours des dernières décennies, donnent à penser que l'espèce est très rare dans la région côtière de la Colombie Britannique. L'espèce pourrait devenir encore plus rare en raison des menaces. En outre, elle pousse dans des milieux éphémères soumis à des menaces considérables, dont l'exploitation forestière, le réchauffement climatique (dôme de chaleur de 2021), la construction de chalets et d'autres activités anthropiques réalisées le long de la côte. À la lumière de ces renseignements, une évaluation officielle du statut prioritaire est fortement recommandée pour l'Erioderma sorediatum.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Lichens

Nom scientifique : Leptogium hibernicum

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Nouvelle-Écosse, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le Leptogium hibernicum est un cyanolichen foliacé épiphyte qui se rencontre dans les milieux tempérés humides à hyperhumides océaniques/montagnards et qui pousse généralement dans les peuplements matures à anciens de feuillus possédant une écorce neutre à basique fréquemment recouverte de mousses. En Nouvelle-Écosse, au Canada, il a aussi été observé sur le thuya occidental (Thuja occidentalis). L'espèce a besoin d'un taux d'humidité constamment élevé et de températures modérées. Les localités connues se situent à moins de 25 km de la côte et sont généralement relativement protégées par la topographie ou par les peuplements forestiers existants.

Nom commun : Saumon sockeye (saumon rouge)

Groupe taxonomique :Poissons marins

Nom scientifique : Oncorhynchus nerka

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Ministère de Pêches et Océans Canada, Territoires du Nord-Ouest, Océan arctique, Océan pacifique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Territoire du Yukon

Date appel d'offres proposé

Rationale :Ces unités désignables (UD) se trouvent dans les bassins versants des rivières Skeena et Nass. Le saumon rouge est une espèce anadrome qui migre vers la mer et revient frayer dans les rivières natales. Le saumon rouge des rivières Nass et Skeena est une espèce hautement prioritaire parce que les populations ont été définies et que les déclins observés, associés à de faibles effectifs, indiquent un risque de disparition. De plus, l'espèce se trouve dans la même région géographique que le saumon chinook de la rivière Skeena, également visé par des déclins, une disponibilité de données et des menaces similaires. Des menaces importantes peuvent peser sur l'espèce et varient en fonction de la diversité de l'habitat utilisé au cours du cycle vital du saumon rouge : 1) les zones estuariennes et 2) les zones côtières peuvent subir des menaces causées, par exemple, par la pollution, les pêches et la prédation par les pinnipèdes; 3) les zones de haute mer sont soumises à des menaces possibles causées, par exemple, par la compétition avec d'autres espèces de saumons et les changements de productivité des océans; (4) l'habitat d'eau douce est exposé à des menaces dans les bassins versants causées, par exemple, par la dégradation de l'habitat, les barrages et les glissements de terrain.

Nom commun : Saumon chinook

Groupe taxonomique :Poissons marins

Nom scientifique : Oncorhynchus tshawytscha

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Ministère de Pêches et Océans Canada, Territoires du Nord-Ouest, Océan arctique, Océan pacifique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Territoire du Yukon

Date appel d'offres proposé2018

Rationale :Ces unités désignables (UD) se trouvent dans les bassins versants des rivières Skeena et Nass. Le saumon chinook est une espèce anadrome qui migre vers la mer et revient frayer dans les rivières natales. Les prévisions préliminaires basées sur les données actuelles sont les suivantes : quatre des UD dont les données sont complètes sont EN VOIE DE DISPARITION, tandis que la cinquième UD est MENACÉE. Les UD dont les données sont incomplètes sont toutes EN VOIE DE DISPARITION. Les données pour deux UD sont insuffisantes. Des menaces importantes peuvent exister et varient en fonction de la diversité de l'habitat utilisé au cours du cycle vital du saumon chinook : 1) les zones estuariennes et 2) les zones côtières peuvent subir des menaces causées, par exemple, par la pollution, les pêches et la prédation par les pinnipèdes; 3) les zones de haute mer sont soumises à des menaces possibles causées, par exemple, par la compétition avec d'autres espèces de saumons et les changements de productivité des océans; 4) l'habitat d'eau douce est exposé à des menaces dans les bassins versants causées, par exemple, par la dégradation de l'habitat, les barrages et les glissements de terrain. Le saumon chinook de la rivière Skeena est une espèce hautement prioritaire, car les UD ont été définies, les déclins estimés sont importants et les données sont facilement disponibles, même si elles nécessitent probablement une révision. De plus, l'espèce se trouve dans la même région géographique que le saumon rouge de la rivière Skeena, également visé par des déclins, une disponibilité de données et des menaces similaires.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Papilio indra indra

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le Papilio indra est un grand papillon spectaculaire dont la présence au Canada se limite à la chaîne des Cascades, dans le sud de la Colombie Britannique; il n'est actuellement connu que dans trois sites. Les larves se nourrissent de feuilles de Lomatium nudicaule, et peut être d'autres membres de la famille des carottes qui poussent sur les pentes subalpines ensoleillées et exposées au sud. L'aire de répartition extrêmement petite de ce papillon le rend vulnérable aux phénomènes catastrophiques tels que les feux de forêt, dont l'ampleur et l'intensité devraient augmenter sous l'effet des changements climatiques. Le réchauffement climatique peut également entraîner une certaine perte de prairies subalpines ouvertes par le biais de l'augmentation du couvert arboré et arbustif.

Nom commun : Maquereau bleu

Groupe taxonomique :Poissons marins

Nom scientifique : Scomber scombrus

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Ministère de Pêches et Océans Canada, Océan atlantique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé2023

Rationale :Le maquereau bleu est présent dans les eaux de l'Atlantique Nord Ouest, depuis la Caroline du Nord jusqu'à Terre Neuve. Au printemps et en été, on le trouve dans les eaux côtières. De la fin de l'automne et en hiver, l'espèce descend à de plus grandes profondeurs, dans des eaux plus chaudes, à la limite du plateau continental. Dans les eaux canadiennes, l'espèce fraye principalement dans le sud du golfe du Saint Laurent, en juin et en juillet. Depuis la fin des années 1990, le maquereau bleu a connu un déclin d'environ 80 %. La surpêche est considérée comme la principale menace.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Mammifères terrestres

Nom scientifique : Spilogale gracilis

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé2022

Rationale :Au Canada, la moufette tachetée occidentale est seulement présente dans le coin sud ouest de la Colombie Britannique. L'espèce serait généraliste en matière d'habitat, mais, dans la province, elle est principalement présente dans les forêts de feuillus et de conifères, les zones riveraines et les terres agricoles. Bien que l'espèce ait toujours été rare au Canada, des mentions anecdotiques lors du piégeage d'animaux à fourrure donnent à penser que l'espèce était plus courante dans le sud ouest de la Colombie Britannique durant les années 1950 et 1960. Selon plusieurs études récentes réalisées à partir de pièges photographiques dans l'aire de répartition historique au Canada, l'espèce est maintenant très rare, et n'est observée que peu fréquemment. La principale menace pesant sur cette espèce est la perte d'habitat causée par le développement résidentiel. Le piégeage et la mortalité routière pourraient également constituer des menaces continues.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Apiocera barri

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :L'Apiocera barri est une grande mouche distinctive qui, au Canada, est restreinte au sud de la vallée de l'Okanagan, au Canada, où elle presque exclusivement présente dans la communauté végétale en péril dominée par purshie tridentée et la stipe chevelue. La superficie de cet habitat continue de diminuer d'environ 2 % par an.

Nom commun : Asclépiade hérissée

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Asclepias hirtella

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Cette asclépiade de grandes dimensions ne se rencontre au Canada que dans les vestiges de prairie à herbes hautes de Windsor, en Ontario. Il n'y a que quelques sous populations existantes, et probablement moins de 40 individus subsistent. Les menaces potentielles sont les corridors de transport et de services publics, les espèces envahissantes et les autres modifications de l'écosystème, comme le drainage et le fauchage.

Nom commun : Carex aggloméré

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Carex aggregata

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Ce carex vivace des boisés clairsemés à sol rocheux calcaire a été découvert en Ontario en 1982 dans l'île Middle, où il est considéré comme indigène; le nombre d'individus y est estimé à moins de 50. Au moins deux sites additionnels ont été signalés dans les comtés d'Elgin et d'Haldimand, mais on ignore si ces occurrences sont indigènes. Les menaces qui pèsent sur la sous-population de l'île Middle sont les espèces envahissantes, notamment l'alliaire officinale (Alliaria petiolata) et la stellaire moyenne (Stellaria media), la diminution du couvert forestier, les modifications de la composition chimique du sol et la concurrence accrue associée à l'augmentation du nombre de Cormorans à aigrettes nicheurs.

Nom commun : Carex ergot-de-corbeau

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Carex crus-corvi

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Carex vivace qui se rencontre dans des dépressions humides à l'intérieur de boisés de feuillus en terrain bas et de forêts alluviales inondées de façon saisonnière. Il a été découvert en Ontario en 1985 dans les comtés d'Essex et de Lambton. La population canadienne compterait actuellement environ 100 individus, mais certains habitats convenables additionnels n'ont pas encore fait l'objet de relevés. Les menaces sont peu connues, mais incluent probablement les espèces envahissantes et une diminution de la qualité de l'habitat.

Nom commun : Carex à marge noire

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Carex nigromarginata

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Carex vivace longévif poussant dans les chênaies à sol sec et sableux, signalé pour la première fois en Ontario en 1980, à la pointe Long; une seule localité est encore à ce jour connue au Canada. Le nombre d'individus est actuellement estimé entre 100 et 200, mais aucun recensement exhaustif n'a été réalisé, et il est probable que des individus additionnels puissent être découverts. Le nombre réel d'individus pourrait toutefois être bien inférieur au nombre de plantes observées, puisque l'espèce est rhizomateuse et se multiplie par voie clonale. Les menaces pesant sur l'espèce sont la succession végétale et la mésification des forêts, qui entraînent une fermeture du couvert forestier favorisant les espèces de sous-étage tolérantes à l'ombre et réduisent les microhabitats de tapis forestier bien éclairé.

Nom commun : Phoque à capuchon

Groupe taxonomique :Mammifères marins

Nom scientifique : Cystophora cristata

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Conseil de gestion des ressources fauniques du Nunavut, Ministère de Pêches et Océans Canada, Territoire du Nunavut, Océan arctique, Océan atlantique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le phoque à capuchon fréquente les zones du rebord du plateau continental de l'Atlantique Nord; en été, son aire de répartition s'étend jusque dans les eaux de l'Arctique. Une seule population est reconnue, mais elle a été divisée en deux stocks de gestion, selon l'emplacement des zones de mise bas : le stock du nord-est de l'Atlantique et le stock du nord-ouest de l'Atlantique. Le stock du nord-ouest de l'Atlantique représente 85 % de la population, mais ne passe qu'environ la moitié de l'année en eaux canadiennes. Il n'a pas été évalué depuis 2006, année où son effectif a été estimé à 600 000 animaux. Le stock du nord-est de l'Atlantique a été évalué à 80 000 animaux en 2017. On pense que les troupeaux de toutes les régions sont en déclin. Le taux de déclin annuel du stock du nord-est de l'Atlantique semble être de 1 2 %. Le phoque à capuchon fait l'objet d'une récolte de subsistance au Groenland. Les phoques adultes peuvent être chassés à des fins commerciales dans l'Atlantique Nord-Ouest, mais les prises sont faibles, voire nulles. On pense que la diminution qualitative et quantitative de la banquise saisonnière, qui est essentielle à la reproduction, et les changements dans les ressources alimentaires ont une incidence sur cette espèce. Les changements climatiques laissent présager une détérioration continue de la couverture glaciaire, ce qui aura un impact négatif sur l'espèce, qui n'utilise aucunement les sites terrestres comme échoueries ou lieux de mise bas. À long terme, il pourrait y avoir un déplacement vers le nord des zones de mise bas et de mue, à mesure que la glace se contracte vers le nord. Il pourrait également y avoir une hausse de la mortalité naturelle si ce déplacement entraîne un chevauchement avec l'aire de répartition d'un important prédateur, l'ours blanc. Le COSEPAC a pour la dernière fois évalué l'espèce en 1986 et l'avait désignée non en péril.

Nom commun : Drave de la Klaza

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Draba bruce-bennettii

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Territoire du Yukon

Date appel d'offres proposé

Rationale :La drave de la Klaza est une petite brassicacée longévive qui forme des coussins. Elle est endémique du Canada et se rencontre dans les montagnes Langham et Tritop, dans le sud-ouest du Yukon. Elle pousse dans une toundra rocheuse qui a échappé à la glaciation, sur un substratum volcanique (andésite) dominé par les mousses et les lichens, parmi des dryades et des saules arctiques. La majeure partie de la population mondiale se trouve à la montagne Langham, mais l'étendue complète de la population y est inconnue. À la montagne Tritop, l'habitat se limite à une petite zone (<2 km2) qui a été perturbée par des activités d'exploration dans le passé, et ce qui en subsiste est vulnérable à l'arbustification. La sous-population de Langham occupe une plus grande superficie, mais est soumise aux mêmes menaces. Les milieux environnants sont généralement occupés par la forêt ou des arbustes, de sorte qu'ils ne conviennent pas à l'espèce.

Nom commun : Éléocharide à tige carrée

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Eleocharis quadrangulata

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Cette espèce vivace des étangs et marais peu profonds comptait dans le passé cinq sous populations dans le sud-ouest de l'Ontario, où elle atteint la limite nord de son aire de répartition. L'existence d'une seule de ces sous-populations a pu être vérifiée récemment; les autres sous-populations n'ont pas été retrouvées, et au moins une est considérée comme disparue. L'espèce a probablement connu un déclin par rapport à ses populations historiques, puisque plusieurs d'elles sont associées aux milieux humides, qui se trouvent dans des paysages fortement modifiés. Deux nouveaux sites ont été découverts au cours des dernières années, portant à trois le nombre de sous populations existantes connues, mais le nombre total d'individus matures est inconnu. Dans le plus grand site, l'habitat connaît un déclin rapide en raison de la propagation du roseau commun, graminée des milieux humides exotique, envahissante et agressive.

Nom commun : Euphorbe variable

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Euphorbia commutata

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Au Canada, cette petite plante annuelle est confinée aux landes de roche de marbre près du lac Black Donald, dans le comté de Renfrew, et aux alvars calcaires, dans le comté de Hastings, dans l'est de l'Ontario. L'espèce compte environ 13 sous populations répertoriées, dont 11 sont considérées comme existantes. Les menaces qui pèsent sur elle comprennent le développement résidentiel et commercial, les activités forestières et les espèces envahissantes.

Nom commun : Fétuque de Hall

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Festuca hallii

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Alberta, Manitoba, Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune, Saskatchewan

Date appel d'offres proposé

Rationale :La fétuque de Hall fait partie des espèces dominantes des communautés indigènes des prairies de fétuques, qui occupaient dans le passé toute une bande dans les prairies du Nord, au sud de la zone de transition avec la forêt boréale. Selon les estimations, 95 % de ces communautés ont été perdues en raison de la suppression des incendies, de la conversion des terres pour la production agricole et d'autres types de développement (résidentiel/industriel/transport). Cette fétuque des plaines longévive à croissance lente, de fin de succession, est menacée par les espèces envahissantes agressives, particulièrement les graminées vivaces rhizomateuses, qui s'établissent facilement dans les prairies de fétuques à sol riche. De plus, les changements climatiques devraient entraîner une hausse des températures et un assèchement des conditions dans les prairies canadiennes, repoussant considérablement vers le nord l'enveloppe climatique de la fétuque de Hall.

Nom commun : Non disponible

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Fitchiella Robertsoni

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le Fitchiella robertsoni est associée à des vestiges de prairie indigène au Canada et dans l'est des États Unis, un écosystème rare et en péril. L'espèce est considérée comme rare et très localisée dans l'ensemble de son aire de répartition, et ne comptait qu'environ 12 populations connues dans le monde avant 2000 (Bess, 2005). Elle ne se trouve que dans deux sites dans le sud de l'Ontario et son aire de répartition semble très restreinte. D'autres habitats convenables ont fait l'objet de relevés approfondis, mais l'espèce n'a pas été observée. L'espèce bénéficierait de la réalisation d'autres activités de recherche ciblée dans quelques habitats clés. Les menaces actuelles et continues sont la succession de l'habitat, les espèces envahissantes et l'utilisation de l'habitat à des fins récréatives.

Nom commun : Plongeon à bec blanc

Groupe taxonomique :Oiseaux

Nom scientifique : Gavia adamsii

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Alberta, Colombie-Britannique, Conseil consultatif de la gestion de la faune des Territoires du Nord-Ouest, Le Conseil consultatif de la gestion de la faune (versant nord), Commission de gestion de la faune aquatique et terrestre du Yukon, Conseil de gestion des ressources fauniques du Nunavut, Manitoba, Territoires du Nord-Ouest, Territoire du Nunavut, Office des ressources renouvelables sur le territoire gwich'in, Office des ressources renouvelables du Wekeezhi, Agence de Parcs Canada, Québec, Service canadien de la faune, Sahtu Renewable Resources Board, Territoire du Yukon

Date appel d'offres proposé

Rationale :En résumé, selon les renseignements disponibles, cette espèce longévive se reproduisant dans l'Arctique pourrait satisfaire aux critères associés à une petite population au Canada puisqu'un déclin considérable à court et à long terme est observé dans la petite partie de l'aire d'hivernage nord-américaine visée par les recensements des oiseaux de Noël (RON), les prises accidentelles locales, la pêche de subsistance et les déversements d'hydrocarbures contribuant à la mortalité. Cependant, il est à noter que les relevés qui assurent le suivi de certaines parties de l'aire de reproduction indiquent des tendances stables ou à la hausse. Les connaissances traditionnelles autochtones sur l'aire de reproduction seront probablement un facteur déterminant dans la compréhension de l'état de la population.

Nom commun : Iris brévicaule

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Iris brevicaulis

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Ce petit iris voyant a été observé au Canada dans des boisés clairsemés humides dans l'île Pelée et près de Leamington, dans le sud-ouest de l'Ontario. Une seule des quatre sous populations connues est confirmée comme existante. Les menaces potentielles sont le défrichage pour l'agriculture, les espèces envahissantes et les autres modifications de l'écosystème.

Nom commun : Limande à queue jaune

Groupe taxonomique :Poissons marins

Nom scientifique : Limanda ferruginea

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Ministère de Pêches et Océans Canada, Nouveau Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador, Nouvelle-Écosse, Océan atlantique, Agence de Parcs Canada, Île-du-Prince-Edouard, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :La limande à queue jaune est un poisson plat de taille moyenne qui se rencontre depuis les bancs de Terre-Neuve jusqu'aux eaux du plateau continental en Virginie, aux États Unis. Elle vit principalement dans des profondeurs inférieures à 100 m. Au Canada, on la trouve sur le Grand Banc, dans le sud du golfe du Saint-Laurent, le long du plateau néo-écossais et sur le côté est du banc Georges.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Megaphorus willistoni

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Au Canada, cette espèce de mouche de la famille des Asilidés ne se rencontre que dans les prairies les plus chaudes du sud des vallées de l'Okanagan et de la Similkameen, où elle est apparemment rare. Le Megaphorus willistoni a l'apparence d'une mégachile (abeille de la famille des Megachilidés), et il a été observé dans des prairies florifères où il chasserait des mégachiles ainsi que d'autres espèces d'abeilles et de guêpes. Les principales menaces qui pèsent sur l'espèce dans sa petite aire de répartition canadienne sont probablement la perte d'habitat causée par le développement agricole et urbain et (possiblement à court terme) l'augmentation de la fréquence des incendies dans un paysage fragmenté.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Mollusques

Nom scientifique : Mesodon clausus

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le Mesodon clausus est un escargot terrestre rare qui se trouve à la limite nord de son aire de répartition dans le sud de l'Ontario. Il vit dans des boisés de feuillus et des savanes et alvars ouverts. Deux sous-populations sont connues : dans le parc provincial Petroglyphs (comté de Peterborough) et dans l'île Pelée (comté d'Essex). L'espèce est probablement extrêmement rare dans tous les sites, et de nombreux relevés (1991 à 2023) réalisés dans d'autres régions de l'Ontario n'ont pas permis de constater sa présence. Un certain degré de protection est accordé aux deux sites, mais ils sont gérés au moyen de brûlages dirigés, ce qui peut augmenter la mortalité. La dégradation de l'habitat causée par les lombrics exotiques et les plantes envahissantes, le piétinement par les visiteurs du parc et les changements climatiques constituent des menaces pour cette espèce. L'immigration de source externe depuis l'extérieur du Canada est limitée, car les Grands Lacs constituent un obstacle et l'espèce a une faible capacité de dispersion.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Arthropodes

Nom scientifique : Nemomydas pantherinus

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Cette mouche prédatrice facilement reconaissable est présente uniquement dans les vallées de l'Okanagan, de la Similkameen et de la Kettle au Canada, dans les communautés végétales des prairies et des steppes les plus chaudes et les plus sèches. Ce type d'habitat connaît un déclin continu d'environ 2 % de sa superficie par année.

Nom commun : Phoque du Groenland

Groupe taxonomique :Mammifères marins

Nom scientifique : Phoca groenlandica

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Ministère de Pêches et Océans Canada, Terre-Neuve-et-Labrador, Océan arctique, Océan atlantique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le phoque du Groenland fréquente les zones du rebord du plateau continental de l'Atlantique Nord; en été, son aire de répartition s'étend jusque dans les eaux de l'Arctique. Trois populations sont reconnues, mais seule la population de l'Atlantique Nord-Ouest, qui représente 76 % de la population mondiale, vit en eaux canadiennes. Les populations se sont rétablies après la mise en ouvre de mesures de conservation dans les années 1970, mais elles ont toutes montré des déclins au cours des 20 à 50 dernières années. Le phoque du Groenland fait l'objet d'une chasse commerciale et de subsistance, mais les récoltes actuelles sont bien inférieures aux niveaux durables. On pense que la diminution qualitative et quantitative de la banquise saisonnière, qui est essentielle à la reproduction, et les changements dans les ressources alimentaires ont une incidence sur cette espèce. Les changements climatiques laissent présager une détérioration continue de la couverture glaciaire, ce qui aura un impact négatif sur l'espèce, qui n'utilise aucunement les sites terrestres comme échoueries ou lieux de mise bas. À long terme, il pourrait y avoir un déplacement vers le nord des zones de mise bas et de mue, à mesure que la glace se contracte vers le nord. Il pourrait également y avoir une hausse de la mortalité naturelle si ce déplacement entraîne un chevauchement avec l'aire de répartition d'un important prédateur, l'ours blanc. Le COSEPAC n'a jamais évalué cette espèce.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Lichens

Nom scientifique : Ricasolia amplissima subsp. sheiyi

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Ce grand lichen qui pousse sur les arbres est constitué d'un champignon qui vit en symbiose à la fois avec une algue et avec une cyanobactérie. Il forme de grands thalles blanc éclatant à l'état sec et verts à l'état humide, qui peuvent atteindre un demi-mètre de diamètre. L'espèce est présente en Europe et dans l'ouest de l'Amérique du Nord. La population de l'ouest de l'Amérique du Nord est génétiquement distincte et est considérée comme une sous-espèce endémique; les individus présents au Canada appartiennent à cette sous-espèce. L'espèce pousse sur le tronc très exposé et bien éclairé d'épinettes de Sitka anciennes, à proximité des rivages côtiers en Alaska et en Colombie-Britannique. Une des deux localités vérifiées au Canada se trouvait dans une zone qui fait l'objet d'une importante exploitation forestière côtière, où la zone tampon est limitée et où il n'y a aucune protection officielle; elle n'a pas été retrouvée durant les nouvelles visites au site. L'espèce ne peut pas être confondue avec d'autres grâce à sa grande taille et à sa couleur.

Nom commun : Triton rugueux

Groupe taxonomique :Amphibiens

Nom scientifique : Taricha granulosa

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Colombie-Britannique, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le triton rugueux se rencontre sur la côte ouest de la Colombie-Britannique. Il produit une neurotoxine puissante, qui est une défense très efficace contre les oiseaux et les mammifères prédateurs. Les principales menaces qui pèsent sur l'espèce sont la destruction de l'habitat par l'exploitation forestière, les maladies infectieuses émergentes (Bd et Bsal) et les changements climatiques.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Plantes vasculaires

Nom scientifique : Tipularia discolor

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :La seule petite population connue est limitée aux forêts mésiques matures de la zone carolinienne. La population canadienne compte actuellement deux individus, dans une petite forêt ancienne de feuillus vestigiale, dans la plaine sableuse de Norfolk. Son habitat est entouré de terres faisant l'objet d'une agriculture intensive et est vulnérable aux phénomènes stochastiques, comme les tempêtes violentes. Les menaces pesant sur l'espèce sont l'altération et la perte continues de son habitat, le piétinement par des amateurs d'orchidées et probablement le broutage par les cerfs surabondants.

Nom commun : Grand Chevalier

Groupe taxonomique :Oiseaux

Nom scientifique : Tringa melanoleuca

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le Grand Chevalier est un oiseau de rivage familier qui se reproduit dans les tourbières ombrotrophes de la zone boréale du Canada et qui hiverne depuis la côte sud des États-Unis jusqu'aux Caraïbes et en Amérique du Sud. Bien que l'espèce soit encore relativement commune, des analyses récentes de relevés normalisés d'oiseaux de rivage montrent un déclin probable de 43 % au cours des 3 dernières générations (15 ans). Sa vaste aire de répartition et ses longues migrations l'exposent à un vaste éventail de menaces dans de nombreux pays. On ne sait pas exactement quelles menaces expliquent le déclin de l'espèce, mais la chasse pratiquée presque partout dans l'aire d'hivernage ainsi que la dégradation et la perte de milieux humides dans les aires de migration et d'hivernage en sont probablement du nombre.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Oiseaux

Nom scientifique : Tringa solitaria

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le chevalier solitaire est un oiseau de rivage répandu, mais peu étudié, qui niche dans les conifères de la zone boréale du Canada. Son aire d'hivernage s'étend depuis les Caraïbes et l'Amérique centrale jusque dans la plus grande partie de l'Amérique du Sud. Bien que l'espèce soit encore relativement commune, des analyses récentes de relevés normalisés d'oiseaux de rivage montrent un déclin probable de 50 % au cours des 10 dernières années. Sa vaste aire de répartition et ses longues migrations l'exposent à un large éventail de menaces dans de nombreux pays. On ne sait pas exactement quelles menaces expliquent le déclin de l'espèce, mais la dégradation et la perte de milieux humides d'eau douce, en particulier dans les sites de migration et d'hivernage, sont probablement importantes. De plus, la chasse est pratiquée dans les aires de migration et d'hivernage.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Mollusques

Nom scientifique : Ventridens suppressus

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Il s'agit d'une espèce de taille moyenne, mais distinctive. Les mentions, qui datent d'environ 100 ans, proviennent de la région de Hamilton. Malgré d'importantes activités de recherche, l'espèce n'a pas été trouvée dans le sud de l'Ontario. Cette espèce vit dans les boisés mésiques des hautes terres rocheuses. Il est possible que l'escarpement du Niagara, qui doit encore faire l'objet de recherches, fournisse un habitat convenable pour cette espèce. Si celle ci persiste au Canada, toutes les menaces qui réduisent la quantité et la qualité de l'habitat sont possibles, et leur gravité pourrait être extrême. Les menaces comprennent également les changements climatiques, le piétinement et les espèces envahissantes.

Nom commun : (nom commun non disponible)

Groupe taxonomique :Mollusques

Nom scientifique : Xolotrema denotatum

Occurrence au Canada / Compétences actuelles ou potentielles :Musée Canadien de la Nature, Ontario, Agence de Parcs Canada, Service canadien de la faune

Date appel d'offres proposé

Rationale :Le Xolotrema denotatum pourrait être une espèce rare à la limite nord de son aire de répartition dans le sud de l'Ontario et du Québec. Cette espèce se trouve habituellement sur l'escarpement du Niagara, mais aussi dans la forêt des basses terres. Elle n'est déjà plus présente dans certains des sites d'occurrence historiques en raison de la perte et de la dégradation de l'habitat. Les autres menaces pourraient être les espèces envahissantes, les changements climatiques et les pressions anthropiques.